4 août 2010

Life in plastic, it's fantastic


#sacrérogerjouret


Plastic Bertrand, un mythe qui s’effondre, une déception sans nom. Le héros de toute une génération wallonne n’était en fait qu’un biaiseur de luxe qui nous a luxueusement baisé. Il avait compris la recette du succès, celle qui sera reprise par toutes les pré pubères des années 2000 : se teindre en blond et exceller dans l’art du play-back. Quel précurseur ce Plastic. Il avait même réussi à faire carrière avec un nom pareil. D’après une source proche, pour avoir un bon nom de scène il faut prendre le prénom de notre premier animal de compagnie et le nom de la rue où on habite. Petits florilèges : Chouquette Court Debout, Pompon horizon, Désirée Dufour, Cannelle Les Buissons, Cacahuète de Sébastien ou encore Totor des Ecuries. C’est imparable. Ça marche aussi pour une carrière dans le porno bien sûr.

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